Police perso : Cristiani Corsi: Evènements d'Ajaccio : manipulation et désinformation
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mercredi 20 janvier 2016

Evènements d'Ajaccio : manipulation et désinformation


Au regard des évènements décisifs dont a été secouée la Corse depuis les dernières élections, Cristiani Corsi s’est vu attaqué par de nombreux sites et autres journaux de différentes obédiences mondialistes. Subissant une tactique de diffamation outrancière et mutilatrice, Cristiani Corsi serait une nouvelle itération d’un fascisme qui viserait à « détruire l’altérité musulmane », aurait organisé le saccage du lieu de prière musulman lors de la manifestation en décembre dernier, verserait dans la rhétorique « nauséabonde de l’extrême droite » ; bref : notre mouvement serait à la source de toutes les exactions les plus xénophobes de ces derniers temps, et de ceux à venir.
Il va presque sans dire qu’une telle critique heurte notre sensibilité politique et chrétienne, qui, loin de supporter la violence antireligieuse des manifestations d’Ajaccio, la déplore au contraire. Dans la mouvance des propos de Monseigneur l’Évêque, nous comprenons en effet la réaction d’un peuple corse indigné par le caillassage de ses pompiers, tout comme nous comprenons la stupeur des familles maghrébines qui se sont vues amalgamées à la délinquance banlieusarde. Nous affirmons cependant que les débordements de violence, dont ont été victimes et Corses, et Arabes, n’ont d’autre raison que l’indifférentisme culturel et religieux dans lesquels on cherche à les noyer. Depuis bientôt soixante ans, la communauté musulmane, en Corse et dans toute l’Europe, se fait grandissante. Parallèlement à l’afflux massif et continuel de nouveaux arrivants un certain nombre de problèmes ont émergé : voile, nourriture halal, prières dans les rues, violences quotidiennes et violences terroristes, qui posent la question de la cohabitation et de l’assimilation. L’absence de considération politique pour les peuples européens qui aspirent à vivre en harmonie avec leur foi et leur histoire, le dédouanement politique général, sous couvert d’antifascisme, face aux perspectives de submersion culturelle, a plongé l’Europe toute entière dans une impasse, laquelle n’est pas sans danger pour la communauté musulmane.
L’Européen qui refuse et la perspective d’un remplacement culturel, et l’impunité des éléments délinquants qui profitent de la permissivité à sens unique du « vivre ensemble », semblent en effet n’avoir que deux choix : ou bien subir l’injustice, ou bien la faire subir. C’est ainsi que la Corse, et Ajaccio plus précisément, est devenu en décembre dernier le théâtre de cette fatale alternative. Cette situation globale, que l’idée de « communauté de destin » ne fait qu’accentuer dans son potentiel chaotique et insurrectionnel, doit cesser.
La « communauté de destin », et son corollaire républicain la laïcité, doctrine qui vise à nier purement et simplement le fait religieux, met nécessairement en concurrence les différentes religions, ainsi que leur extension culturelle qui composent la société civile. En résulte une sorte de « marché de la libre concurrence religieuse », où le rapport interconfessionnel est inévitablement un rapport d‘inimité. C’est cet espace laïque qu’il s’agit donc aujourd’hui d’abolir : tant que la laïcité aura prétention à dominer le religieux, Corses et Arabes seront dans l’impossibilité d’harmoniser leurs différences culturelles. La réaffirmation de l’identité chrétienne de la Corse et du Corse apparaît ainsi comme la seule alternative historique, politique, et culturelle viable, qui puisse à la fois préserver le peuple corse de sa disparition sur son propre sol, et pacifier les relations avec la communauté musulmane (qui n’a pas à pâtir des exactions de quelques uns de ses éléments.)

Rétablir la vérité de la catholicité corse, ce n’est pas, en effet, exclure une communauté qui ne se retrouverait pas dans cette définition. Ce n’est pas non plus (il est vrai) instaurer une égalité culturelle anhistorique, qui laisserait penser que l’Islam a une légitimité équivalente au christianisme sur le territoire corse. Au-delà de cette aporie moderne, qui aboutirait une fois encore à une rivalité interculturelle, l’affirmation de notre droit à nous inscrire dans la continuité historique de notre communauté traditionnelle permettra de renouer avec le sain concept d’hospitalité, -- facteur d’intégration véritable en ceci qu‘il permet de déterminer culture d‘accueil, et culture accueillie.
Ce sont cette visibilité et cet équilibre dans les rapports communautaires qui permettront d’établir un respect mutuel, à même d’organiser les relations entre Corses et Arabes, sans que l’une ou l’autre des communautés n’ait à se nier. C’est également cette distinction entre accueillants et accueillis qui saura définir les droits et les devoirs de chacun.
Si la Corse a pour spécialité de produire des Corses, cela s’est toujours fait ainsi : catholiquement.


1 commentaire:

  1. Entièrement d'accord!la Corse est une réalité chrétienne,(ex:Sarté et son caténacciu)avec sa culture,ses fêtes,églises,couvents et monastères.
    Ceux qui y viennent n'ont qu'a respecter cette culture ou rester chez eux!
    Et n'oublions pas les souffrances du peuple Corse parasité par ces mêmes peuples sarrasins,durant des siècles,pratiquant un génocide infecte dans le sang,l'esclavagisme,le vole et le viol;jusqu'à l'édification des tours-génoises qui pourtant sont encore bien visible!
    Le respect de l’accueillant doit être inaliénable et madonaccia et puis voilà!
    Si nous obtenons l’indépendance face à la france aux vues des exactions de cette dernière envers les anciens .Que pourrait-on penser si 2 siècles plus tard la nouvelle génération privilégie une nouvelle invasion française!Pareille pour une nouvelle invasion de sarrasins!
    Si par ses différents gouvernements l'état français à fait des "cagades" en afrique,
    moyen orient,irak,syrie(et j'en passe)il n'a qu'a se "démerder"avec ses alliés de basses-besognes complices dans leur course au profits psychopathes!
    La Corse n'est aucunement responsable des agissements de sa tutelle et n'a pas à suivre ses initiatives suicidaires!

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