Police perso : Cristiani Corsi: TERRASSER LE DRAGON: LE TERRAIN SOCIAL ET POLITIQUE.(1e Partie)
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mardi 19 novembre 2013

TERRASSER LE DRAGON: LE TERRAIN SOCIAL ET POLITIQUE.(1e Partie)




L'ETAT DE FAITS.

Après avoir fait un état des lieu général des sociétés occidentales et de la société corse, il est possible de procéder à un constat plus précis du désarroi social, économique et spirituel dans lequel se trouvent notre peuple et notre terre.
 Conflits sociaux menaçant l'intégrité directe de la société insulaire, de ses acteurs, de leur identité et de leur environnement. Des dernières semaines aux quelques mois antérieurs, ce que nous dénoncions sous le terme de "Tiers-Mondisation" se révèle de plus en plus:



1)Le remplacement de population et le transfert de débouchés vers l'exterieur: 
              .Le conflit STC/SOCIETE GENERALE déclenché par l'attribution d'un emploi à une personne du continent sur une ile qui comptait en Juin 2013 plus de 18 000 chômeurs;
              .Le conflit suite à la perte par l'OEHC du marché d'analyse des eaux au bénéfice d'une entreprise continentale. Dans ce cas la spoliation est d'autant plus aggravée si l'on considère que l'Office emploie des travailleurs corses, qu'il est une entité régionale qui plus est financée et chapeautée par la CTC et ses dotations, et à laquelle un monopole n'est cependant pas assuré.

 Ces exemples, tout représentatifs qu'ils soient, ne forment pas une liste exhaustive mais sont bien révélateurs de l'état d'errance morale et de démantèlement avancé dans lesquels se trouve la Corse.
 Rien d'étonnant au demeurant dans une société ou seuls l'intérêt individuel, la division de classes contre classes et la prédation de l'Homme par l'Homme, au service du veau d'or, règnent en maitres incontestés. Sans se rendre compte des racines de tous ces maux on peut dire sans se tromper que la Corse et son peuple sont envoyés "tels des brebis au milieu des loups". 

2)La mise en danger de notre environnement et donc de notre seule alternative économique, sociale et identitaire au tourisme  "bananier" pratiqué actuellement: Le retour à la terre(et à ses valeurs). Nous ne reviendrons pas sur le marché d'analyse des eaux, domaine que tout territoire souverain doit maitriser.
 Sur une ile ou tout se vend et s'achète, tout circule librement, la matière première naturelle est négligée voir malmenée:

              .Apparition d'espèces dangereuses chez les insectes aux effets dévastateur sur la faune et la flore, avec en premier lieu un symbole de l'ile: la châtaigneraie qui participe directement au maintien d’ environ 300 exploitations agricoles(castanéiculteurs, éleveurs porcins, bovins,ovins, et caprins).
              .L'habitude de s'en remettre à cette autorité que pourtant on ne rechigne pas à remettre en question: l'état français. Ce qui peut être constaté pour le problème de la fièvre catarrhale, avec une sidérante incapacité de coopérer avec la Sardaigne, mieux aguerrie, est symptomatique de notre perte de conscience de nous meme, de ce que nous sommes, et de notre manque d'épanouissement dans notre propre milieu, avec en plus le réflexe de s'en remettre à la France pour ensuite la critiquer sans porter une initiative de substitution, active, dont les hommes de la Terre seraient acteurs.

"Aides toi et le ciel t'aidera"...








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